On revient sur l’éditorial : Mère de famille égorgée dans les Yvelines : le mari sera présenté devant la justice ce lundi

Nous allons tout vous révéler sur cet article qui vient d’être publié, dont la thématique est «la justice».

Le titre saisissant (Mère de famille égorgée dans les Yvelines : le mari sera présenté devant la justice ce lundi) condense tout le papier.

Présenté sous la signature «d’anonymat
», le journaliste est connu et fiable.

Vous pouvez prendre connaissance de ces informations en toute sécurité.

Voilà ll’article en question :

L’homme de 32 ans qui a téléphoné à la police samedi matin à Meulan (Yvelines) pour indiquer qu’il venait d’égorger sa femme doit être présenté ce lundi matin devant la justice, à Versailles, en vue de sa mise en examen pour « homicide volontaire par conjoint ».

Son épouse, âgée de 29 ans, a succombé à des blessures à la gorge infligées avec un couteau dans l’appartement familial de la rue Georges-Clemenceau, à proximité du centre-ville. Le drame s’est noué en présence du bébé du couple, âgé de 4 mois. Le nourrisson a immédiatement été pris en charge par les services de l’Aide sociale à l’enfance (ASE).

Au cours de son audition, le mari, inconnu des services de police et sans aucun antécédent judiciaire, a évidemment reconnu les faits, puisqu’il avait lui même alerté la police le matin même.

Il soupçonnait une relation extraconjugale

« Il ne semble pas se souvenir précisément de la manière dont les faits se sont déroulés, détaille ce dimanche soir Maryvonne Caillibotte, procureure de la République à Versailles. Il soupçonnait visiblement son épouse d’entretenir une relation extraconjugale. Ces jeunes parents n’étaient pas isolés : ils entretenaient l’un et l’autre des liens avec leur famille et leurs amis. »

Les premières auditions des proches et du voisinage ont permis de mettre en avant des « disputes régulières, mais qui n’avaient jamais fait l’objet de main courante ».

Samedi matin, les secours ont été alertés vers 8h30. Un passant, qui avait entendu des cris, a composé le 17 pour donner l’alerte. Quelques minutes plus tard, c’est le mari lui-même qui téléphonait à la police pour expliquer le geste qu’il venait de commettre. Deux couteaux « ordinaires », susceptibles de correspondre aux blessures mortelles ont été saisis dans l’appartement par les enquêteurs.

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