Information pour les passionnés : Village de Noël du Barcarès : Alain Ferrand et quatre autres prévenus au tribunal le 22 mars

Voici les « bonnes pages » d’un éditorial que nous venons de identifier sur internet. Le propos va inévitablement vous séduire. Car la thématique est « la justice ».

Son titre saisissant (Village de Noël du Barcarès : Alain Ferrand et quatre autres prévenus au tribunal le 22 mars) parle de lui-même.

Le journaliste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est positivement connu.

Le papier peut de ce fait être pris au sérieux.

L’affaire concerne la gestion des animations municipales de fin d’année au Barcarès, dans les Pyrénées-Orientales.

L’enquête, menée en parallèle de celle de Marseille par les gendarmes de la section de recherches de la gendarmerie de Montpellier concernant le village de Noël du Barcarès, est aujourd’hui bouclée. Alain Ferrand, maire du Barcarès, mais aussi trois gérants de bars ou discothèques et un employé de la régie municipale sont renvoyés devant le tribunal correctionnel de Perpignan. La date d’audience a été fixée au 22 mars 2023, confirme le procureur adjoint Bruno Albouy. Les cinq prévenus seront appelés à répondre, à divers degrés, de « prise illégale d’intérêt par un élu public », « recel de prise illégale d’intérêt » et « concussion par dépositaire de l’autorité publique ».

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Tout était parti d’une plainte auprès du procureur d’Anticor. L’association avait signalé « plusieurs dysfonctionnements concernant les conditions d’attribution et la gestion du village de Noël du Barcarès organisé entre décembre 2018 et janvier 2019 », ajoute le parquet. Néanmoins, certains des points initialement visés « n’ont pas été retenus » par le ministère public.

Des prix différents auraient été appliqués

Selon les premiers éléments, il serait reproché aux prévenus plusieurs irrégularités dans la mise du grand marché. Originellement implanté au cœur du village, l’évènement avait pris de l’ampleur en 2018 et s’était déplacé autour du Lydia, propriété de la municipalité depuis 2011. Une nouvelle grille tarifaire pour les autorisations d’occupations temporaires du domaine public (AOT) avait été fixée par délibération du conseil municipal. Des prix différents auraient pourtant été appliqués en fonction des attributaires. Et, selon Anticor, aucun montant n’aurait été établi pour l’occupation intérieure et extérieure du Lydia, même si plusieurs entités auraient finalement exercé une activité commerciale au sein du paquebot. En outre, le maire du Barcarès aurait eu à cette époque des intérêts dans des sociétés exploitant ces espaces. Et ces dernières auraient été exonérées de certaines contreparties financières à verser à la commune.

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