RINA SOK – CAMBODGE
Exposition: “Riz”
Neak Bong Residence : 30 Nov 2024 – 2 Jan 2025
Quelles que soient les circonstances, le riz a toujours été un aliment de base vital pour tous les Cambodgiens, en particulier ceux originaires d’Asie. L’agriculture joue un rôle crucial dans le développement de la nation, en termes de sécurité alimentaire, de génération de revenus, d’emplois et d’amélioration de l’état nutritionnel de la population.
Née en 1988 à Siem Reap, Rina est une photographe autodidacte, soutenue par sa famille. Après avoir obtenu son diplôme, elle a commencé́ sa carrière de photographe en travaillant avec diverses institutions à Siem Reap. En 2016-2017, Rina a participé́ au concours de photographie de la « Japan Professional Photographers Society » (JPS) au Japon, remportant un prix deux années de suite. En 2019, elle a participé́ à l’atelier photo dirigé par Sovan Philong, organisé par l’association Photo Phnom Penh (PPPA). En 2021-2022, Rina participe aux « International Photography Awards » (IPA) aux États-Unis dans la catégorie Professional : Architecture, ce qui lui a permis d’obtenir un certificat en photographie professionnelle.
Rina a maintenant créé sa propre petite galerie pour présenter certains de ses travaux photographiques. À terme, son rêve est de voir l’industrie de la photographie au Cambodge se développer et s’étendre comme elle l’a fait dans d’autres pays.
BUNHONG LIM – CAMBODGE
Exposition : “Angkor dévoilé : Nature, culture et communauté”
Glow Inn Hotel, Siem Reap: 30 Nov 2024 – 30 Mar 2025
Angkor, ce sont, naturellement, les temples, la sculpture, la splendeur qui a traversé́ les siècles et nous parle encore aujourd’hui avec la même intensité qu’à ses débuts. Mais Angkor, depuis des siècles, ce sont aussi des gens, des activités, la relation entre la nature et l’homme, ce sont des croyances, une culture profonde. Angkor n’est pas seulement un mausolée ; Angkor vit. Tout cela, qui a défié le temps, qui s’est transformé́, a évolué mais est resté solide sur ses bases, il est essentiel que nous le préservions, que nous le célébrions et que nous en prenions soin. Il nous faut, pour cela, regarder attentivement et respectueusement aussi bien la mousse qui dessine autrement une statue, les gestes d’une jeune femme, ceux d’un moine, ceux aussi d’un singe, mais également ceux de celles et ceux qui travaillent.
Né à Siem Reap en 1983, Lim Bunhong travaille dans le domaine de la conservation des monuments d’Angkor et de la recherche sur le patrimoine immatériel du site d’Angkor. Naturellement en phase avec ces thèmes, il se définit comme « Angkorien et Cambodgien ». Il cadre habilement les détails tout en situant les scènes dans le paysage, capturant des fragments et embrassant la vision expansive d’Angkor.
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