Patrice Leconte: «J’ai été dévasté par les petits chiffonniers de Phnom Penh»

Patrice Leconte. François Bouchon / Le Figaro

ENTRETIEN – Le réalisateur et scénariste raconte comment il est devenu le parrain de l’ONG Pour un sourire d’enfant, fondée par Christian et Marie-France des Pallières pour sauver de l’extrême pauvreté des enfants cambodgiens.

C’est toujours avec le même enthousiasme et la même émotion que Patrice Leconte, 76 ans, défend depuis vingt ans la cause des milliers d’enfants les plus pauvres du Cambodge. «Quand Christian et Marie-France des Pallières, fondateurs de PSE, m’ont demandé d’en devenir le parrain, il était impensable de refuser», répond avec un doux sourire le réalisateur des très populaires films Les Bronzés et Les Bronzés font du ski, portés par la troupe du Splendid. Il revient d’un voyage sur place où, à l’occasion des dix ans de l’École du cinéma PSE, qu’il préside, il est allé animer des ateliers auprès des étudiants.

LE FIGARO. – Comment avez-vous fait la connaissance de l’association «Pour un sourire d’enfant»?

Patrice LECONTE. - Il y a plus de vingt ans, j’ai rendu visite au Cambodge à mon frère cadet, Antoine, qui y travaillait comme spécialiste de l’hévéa, l’arbre à caoutchouc. Lui et sa femme connaissaient Christian et Marie-France des Pallières. Ils m’ont dit: «Il faut que tu les rencontres, ce…

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