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Article tout frais : Tribunal judiciaire de Brest : condamné pour de multiples dégradations avec une poêle à frire – Brest

Nous présentons un tout nouvel éditorial qui va parfaire notre revue de presse sur « la justice ».

Son titre (Tribunal judiciaire de Brest : condamné pour de multiples dégradations avec une poêle à frire – Brest) récapitule tout le papier.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable.

La confiance est de ce fait importante concernant cet encart.

L’article a été édité à une date indiquée 2022-11-05 08:54:00.

Voilà lle texte mentionné :

Averties par les habitants d’un immeuble brestois, le 15 avril 2021, les forces de l’ordre interpellent celui qui détériore des véhicules et la porte d’entrée de la résidence avec une poêle à frire ! Une fois le jeune homme en état d’ivresse manifeste plaqué au sol, sa palpation permet de découvrir un couteau coupe-choux et des produits stupéfiants.

Des dégâts importants

Les policiers constatent, par ailleurs, qu’un résident accompagné de « trois adolescents » est intervenu pour calmer le prévenu, moyennant trois jours d’incapacité totale de travail. Les dégâts sont importants : rétroviseurs des véhicules cassés, deux vitres de la porte de l’immeuble brisées…

À l’audience du tribunal judiciaire de Brest, ce vendredi 4 novembre 2022, le mis en cause ne se souvient de rien. Pressé de questions, il se rappelle enfin avoir trouvé la poêle à frire sur le chemin, en sortant d’un trop long apéritif, « des bières et une demi-bouteille de Gin ». Quant au couteau, il est sûr : « C’est un couteau de collection, offert par mon père, auquel je tiens ». Demeure « le déchaînement de violences » qui inquiète la présidente, Nathalie Le Borgne. « Je ne pense pas être violent », lui répond pourtant le prévenu. « Sauf ce soir-là ! », rectifie aussitôt la magistrate.

Trois mois de prison avec un sursis probatoire

Après le rappel du casier judiciaire déjà garni de quatre condamnations, le représentant du parquet, Arthur Rigal, intervient. « Ce sont des faits d’adolescent quelque peu stupides », annonce-t-il. Le parquetier propose un emprisonnement de trois mois avec un sursis probatoire de deux ans, en espérant que la peine facilitera « un passage dans le monde adulte ». En défense, Me Anne Adélaïde rappelle que toutes les victimes ont reçu une indemnisation de son client. La juridiction retient la sanction sollicitée par le ministère public.

Une question reste en suspens : la poêle à frire a-t-elle rejoint sa batterie de cuisine ?

A lire:

Droit de l’exécution des peines 2007-2008,Ouvrage .

Justice et déviance à l’époque contemporaine,Le livre .

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